Catalogue

 

Ces vingt-sept récits suaves et lestes, Georges Bouchard les avait d’abord écrits pour ses fils, afin de leur transmettre les trésors d’un patrimoine paysan qui commençait à se déliter. À travers les portraits colorés des artisans, les croquis de scènes familiales et des travaux de la terre, un microcosme reprend forme et vie dans le rétroviseur de la culture québécoise. Sorte d’almanach d’une autre époque, ce recueil sous-titré Silhouettes campagnardes constitue une pierre précieuse de la littérature du terroir, avec La terre paternelle, Les rapaillages, La Scouine et Trente arpents. Les racines des œuvres à présent associées au néo-terroir, notamment Arvida, Atavismes, Townships…, puisent près d’un siècle plus tard à la même glèbe que celle de Vieilles choses... Vieilles gens.

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Échos de presse

« Ce livre est un joyau, un de ces ouvrages dont le rayonnement augmente avec l’âge. Il témoigne d’un état de grâce : la naïveté, la simplicité, le merveilleux, la sagesse brute d’un monde complexe qui mérite de nous, les modernes, un juste traitement d’intelligence et de mémoire. »

— SERGE BOUCHARD


« Bouchard, plein de tendresse, évoque le curé et son église, le laboureur et ses champs, la maîtresse d’école et sa classe, de même que d’autres personnages, lieux et travaux d’antan, que le "prétendu progrès" est en voie d’effacer. »

— LOUIS CORNELLIER, Le Devoir