Publié en 1968, La charrette était le roman préféré de Jacques Ferron, «peut-être mon meilleur livre», a-t-il confié à des proches. La critique y a vu son œuvre la plus personnelle, celle où l’aspect autobiographique prend un relief à la fois onirique et sombre, une formidable ronde des genres, la danse macabre d’un Ferron plus déroutant que jamais.
Publié en 1968, La charrette était le roman préféré de Jacques Ferron, «peut-être mon meilleur livre», a-t-il confié à des proches. La critique y a vu son œuvre la plus personnelle, celle où l’aspect autobiographique prend un relief à la fois onirique et sombre, une formidable ronde des genres, la danse macabre d’un Ferron plus déroutant que jamais.
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